« La Guardia Civil et Generalitat ont entamé une procédure contre l’une des perreras pour abandon d’animaux » // Dari de Tarragona // Juin 2017

// L’inspection a trouvé 25 chiens vivants et un autre mort qui étaient tous dans des conditions déplorables.

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Les services vétérinaires de la Generalitat, le Service de Protection de la Nature de la Guardia Civil (Seprona) et la Police Locale de Calafell ont inspecté l’une des perreras illégales et ont ouvert une procédure pour abandon d’animaux.

Comme ils l’ont expliqué, il pourrait s’agir de maltraitance animale, ce qui peut conduire à des peines d’emprisonnement comme prévu dans la Loi de Protection des animaux. Les poursuites policières concernent ‘les conditions déplorables’ dans lesquelles se trouvaient les chiens.

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Dans cette enceinte, nous avons trouvé 25 chiens vivants et un mort. La perrera est dans une zone proche de la station d’épuration de Calafell. L’inspection devrait se poursuivre demain et une décision sera prise.

Selon la municipalité de Calafell, des inspections effectuées dans le passé à cet endroit avaient montré, à la différence d’aujourd’hui, que les conditions de vie des animaux et les installations étaient correctes.

Concernant la qualification des installations comme ‘nucleo zoologico’ (*) , la municipalité explique que cela fait des années qu’elle essaie. « Mais la procédure se heurte à l’ambiguité de la législation en vigueur qui ne précise pas le nombre d’animaux à partir duquel un groupe de chiens d’un particulier doit être considéré comme tel. »//

(*) licence que doit obtenir tout établissement qui se consacre au sauvetage d’animaux, accueil temporaire ou durable, élevage, vente …

« Indignation à Calafell pour les perreras illégales avec des cadavres de chien parmi les animaux en surnombre » // Diari de Tarragona // Juin 2017

// Le Conseil municipal assure qu’il fermera les perreras et punira les responsables. Des réunions d’urgence sont prévues aujourd’hui.

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Des chiens enfermés dans des cages et certains déjà morts dans les enceintes des perreras situées à Calafell. Les images prises par un habitant de Calafell dans les zones de montagne de la localité provoquent l’indignation dans la localité.

Le Conseil Municipal assure qu’il examinera toutes les installations qu’il déclare illégales et qu’il a déjà entamé le processus pour les fermer et les démanteler.

Selon des sources municipales, il pourrait y avoir jusqu’à 10 sites avec des chenils dans lesquels on garde des chiens sans aucun type de soins et où les conditions minimales ne sont pas respectées.

Un groupe d’habitants a lancé une pétition sur le réseau collaboratif change.org pour réclamer la démolition de ces installations et sauver ces animaux. (Lien de la pétition: https://www.change.org/p/ajuntament-de-calafell-ajuntament-de-calafell-cierren-las-perreras )

Dans les images filmées par cet habitant dans les zones de montagne de Calafell, on peut remarquer la surpopulation et quelques animaux morts, en plus de la saleté qui s’accumule. Il affirme aussi que les cages ne répondent pas aux conditions minimales de bien-être.

Les interventions de la police Catalane et du Seprona de la Guardia Civil sont attendues aujourd’hui pour revoir les installations et commencer les actions administratives nécessaires.

On recherche également le propriétaire de ces cages. On pense qu’il y en a une dizaine de perreras dans la zone de montagne. Le conseiller municipal Miguel Angel Perin explique que ces chenils ne répondent pas aux normes environnementales, de salubrité et d’urbanisme. Il note aussi qu’ils causent des nuisances pour les habitants par les aboiements la nuit ainsi que l’absence de licences nécessaires pour ces activités.

Miguel Angel Perin assure que le processus pour le démantèlement devrait débuter la semaine prochaine. //

 

« Enquête sur le vol de quatre chiens du refuge de Torredembarra pour des combats de chiens illégaux » // Diari de Tarragona // Juin 2017

// La propriété dispose de caméras de surveillance à l’entrée mais qui ne couvrent pas la zone de l’enceinte clôturée par laquelle ils se sont introduits.

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La disparition de quatre chiens adultes de la Protectora (refuge) de Torredemberra début de ce mois a mis en alerte les différents corps de police sur le fait que le vol de ces animaux l’a peut-être été à des fins illégales comme les combats de chien.

L’enquête est ouverte et depuis le dépôt de plainte, il n’y a pas plus de nouvelles que les faits constatés : les dégâts matériels à la propriété pour y pénétrer et la disparition de quatre grands chiens déparasités, mais dépourvus de puce. Cette dernière étape (puce) a lieu lorsque l’adoption est confirmée.

Le vol a eu lieu le 4 juin dernier dans les installations de la Protectora, située au nord de Torredembarra, de l’autre côté de l’autoroute. Les auteurs ont coupé une clôture d’enceinte de la propriété, dans la partie postérieure de l’entrée principale, et ont pu accéder en milieu d’après-midi. En fait, c’est la Police Locale de Torredembarra qui a averti le responsable de la protectora, Josep M. Crespo, de ce qu’ils avaient constaté. Dans le compte-rendu des faits, Crespo mentionne la disparition de quatre chiens de grande taille qui étaient en cours d’adoption. Le responsable de la protectora ne peut préciser leurs races car il s’agit de chiens croisés et qui ont été abandonné par leurs maîtres.

En dehors du fait de vérifier si quelque chose d’autre manquait, les agents locaux ont aussi visualisé les images du jour avec le propriétaire. Mais les caméras se concentrent seulement sur l’entrée principale et couvrent une partie de l’entrée principale et une partie de la clôture d’enceinte. La visualisation des dernières heures n’a rien donné.

Josep Maria Crespo a l’intention d’acheter pour le futur plus de caméras de sécurité et de pouvoir ainsi couvrir l’ensemble des installations pour éviter un nouveau vol de ce type.

Après le dépôt de plainte au commissariat de la Police Locale, l’aide de la police scientifique a été demandée pour essayer de trouver des indices sur les auteurs.

La taille des chiens et l’absence de puce permettant de les identifier sont autant d’indices laissant à penser que les chiens ont pu être volés à des fins illégales comme les combats. L’enquête, tant au niveau policier qu’au niveau de l’unité scientifique, reste ouverte mais sans résultats.//


Tout ça n’est pas sans rappeler un fait divers qui s’est passé hier à Almeria :

Un chien volé à la Perrera d’Almeria qui a été retrouvé en très mauvais état, avec de nombreuses blessures sur la tête et avec toutes les dents du haut manquantes …

On peut facilement s’imaginer que ce chien a été utilisé comme sparring partner pour entraîner les chiens pour les combats illégaux de chiens.

Sans dents, pas moyen de se défendre …

Comme le disait une animaliste espagnole pour commenter ce fait :

« Si les municipalités se souciaient plus des animaux, si elles contrôlaient et exigeaient des adoptions responsables, il y aurait beaucoup moins d’abandons, sans abandons pas de perreras, sans perreras pas de vols et sans vols pas de combats de chiens … »

 

« Le Ministère de l’Environnement sensibilise les enfants de Puertollano sur la responsabilité de détenir un animal » // La Comarca de Puertollano // 23.06.17

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// La campagne de sensibilisation à l’école ‘Adopte, respecte’ a fait le tour des écoles primaires de Puertollano à l’initiative du ministère de l’Environnement et en collaboration avec l’Association de Protection des Animaux ‘Huellas’ et de la Police Locale.

La dernière étape de la campagne destinée aux étudiants de sixième année s’est déroulée au collège Giner de los Rios avec pour objectif de sensibiliser et informer les écoliers sur la problématique de posséder un animal de compagnie, et s’est focalisée sur les thèmes de la maltraitance animale et de l’abandon.

Une campagne dans laquelle ‘Huellas’ traite de la gestion, des principes et des objectifs des Associations de Protection des Animaux. ‘Huellas’ a également parlé des différences entre les perreras municipales et les protectoras, l’importance de l’implantation d’une puce, la vaccination, le déparasitage et la stérilisation de nos animaux de compagnie et l’abandon zéro.

De son côté, la Police Locale a informé les écoliers sur la façon d’agir en cas de perte ou de vol d’un animal, et aussi de ce qu’il faut faire quand on trouve un animal errant sur la voie publique.

 

Recensement Canin.

Ils ont également expliqué les formalités et les lois que les propriétaires d’animaux doivent respecter, comme l’enregistrement de nos chiens et chats dans le Registre Municipal de Recensement Canin, l’obtention d’un permis pour la détention de races potentiellement dangereuses (PPP), promener toujours nos animaux avec un collier et une laisse et le ramassage des excréments de nos chiens sur la voie publique. //

« Ils sauvent in extremis la vie d’une podenca abandonnée avec les pattes et la gueule attachées » // La Cronica del Parajito // Province d’Almeria // 23.06.17

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// L’association d’Almeria ‘Pupekas’ a reçu un appel de détresse et est parvenue à sauver in extremis l’animal d’une mort atroce.

L’association d’Almeria ‘Pupekas’ a sauvé de justesse une podenca qui a été abandonnée par son maître avec les pattes et la gueule attachées pour qu’elle ne puisse plus bouger ni aboyer ni demander de l’aider.

Pupekas, qui se consacre au sauvetage des chiens dans la région de Nijar, dont de nombreux chiens maltraités, malades ou avec de graves lésions, explique qu’ »après avoir reçu un appel à l’aide ils se sont trouvés devant une scène horrible. Une podenca attachée par les pattes pour ne pas qu’elle s’échappe et la gueule également attachée pour l’empêcher d’aboyer et d’appeler à l’aide. Une mort horrible l’attendait. »

« Avec la chaleur de son corps, nous ne savions pas si elle était toujours en vie. Son corps était brûlant et elle sans forces, presqu’inconsciente. Esperenza, c’est ainsi que nous l’avons appelée, a été transportée chez le vétérinaire d’urgence pour subir des examens qui ont montré que sa vie ne tenait plus qu’à un fil. Elle était au bord de la mort et complètement déshydratée. Nous espérons que tout ira bien pour cette petite qui, quand elle aura récupéré, aura besoin d’un bon foyer. »

Pupekas a aussi lancé un message sur sa page Facebook : «  Merci de ne pas perdre d’énergie dans des propos injurieux et de se concentrer sur la recherche d’un avenir meilleur pour Esperanza » . Ils ont également donné une ’adresse mail où s’adresser pour les personnes qui seraient intéressées par son adoption (pupekas@gmail.com).

« Esperanza va s’en sortir. Ses constantes vitales se sont normalisées et sa température également. Nous l’avons ramenée à la en maison ; maintenant elle a besoin d’une bonne alimentation et de beaucoup d’affection » déclare l’association qui rappelle qu’il est toujours possible de faire dons pour sauver la vie des chiens sur son site internet.//

« Alerte sur la mystérieuse disparition des galgos maltraités à Penaranda » // Salamanca RTV Al Dia // 05.06.17

// PENARANDA – On ne sait pas ce qu’il est advenu d’au moins six des animaux qui présentaient une grande quantité de parasites et de blessures.

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Des voisins et animalistes ont donné l’alerte, ce lundi, concernant, la mystérieuse disparition d’une grande partie des galgos maltraités qui le 29 mai dernier ont été repérés par des agents de la Guardia Civil dans le cadre du dispositif appelé « Operacion Can » qui centralisait son activité en ville, à la recherche de chiens et d’animaux domestiques ainsi que de leur statut légal.

Comme a pu le signaler BRACAMONTE AL DIA, ces derniers jours, au moins six de ces animaux auraient disparu de la parcelle, maintenant nettoyée, dans laquelle ils étaient détenus, ceux qui étaient dans le pire état, et pour lesquels on ne connait toujours pas, ni leur localisation ni leur état.

Ce sont les voisins eux-mêmes, avec des membres de la protection animale, qui ont donné l’alerte sur la situation tout au long de la journée, en indiquant la mystérieuse disparition de ces chiens qui présentaient d’importants problèmes, tels qu’une grande quantité de parasites et des blessures suintantes sur différentes zones du corps.

La Benemérita a signalé à ce même quotidien que les agents ont engagé des poursuites contre le responsable des animaux, en envoyant le dossier à la Junta (commission) de Castilla y León chargée de continuer la résolution administrative en même temps que l’instruction des diligences légales s’instruisaient.

Les membres de l’Association Scooby, également consultés, sont également choqués de cette nouvelle mais affirment que « nous avons demandé des mesures de précaution, pour essayer d’aider ces galgos car du fait qu’ils soient sur une propriété privée nous ne pouvons pas agir librement »; ils affirment qu’ils sont inquiets par la situation et par l’état de ces animaux.

Ce seront les forces de l’ordre qui, dès à présent, continueront l’enquête et qui feront la lumière sur cette situation qui pour le moment entretient l’inquiétude des animalsites et des voisins. //

 

« Deux chasseurs de Valladolid condamnés pour avoir tué leurs trois chiens » // CadenaSer // 10.06.17

// Les chasseurs, condamnés respectivement à des peines de quatre et huit mois de prison, ont pendu deux galgos et un terrier allemand et ont ensuite abandonné leurs cadavres dans une zone abandonnée et inhabitée au nord de la province il y a deux ans.

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La Justice a confirmé les condamnations à quatre et huit mois de prison infligées à deux chasseurs de Valladolid qui ont tué leurs chiens qui ne pouvaient plus leur servir pour la chasse, pour ensuite les abandonner dans un lieu désertique au nord de la province. Le jugement de la Cour Provinciale est ferme et leur interdit également de travailler avec des animaux au cours des trois prochaines années.

Les deux chasseurs sont condamnés pour des faits pratiquement similaires : ils ont frappé et pendu leurs chiens de chasse pour ensuite abandonner leurs cadavres dans un lieu dépeuplé de Villacreces, zone abandonnée de la localité de Santervas de Campos, un lieu où, comme l’a déclaré l’un deux, « on enterre les animaux morts ».

L’un deux a commis ce crime au début de 2014 : on avait diagnostiqué une maladie potentiellement mortelle chez son lévrier et il avait décidé de l’étrangler avec une corde. Le second a fait de même un an plus tard avec deux de ses chiens : il a d’abord pendu son lévrier et a ensuite frappé son terrier avec un tesson et l’a asphyxié, ces deux chiens étant aussi des chiens de chasse. Les corps ont été retrouvés par les agents de la Seprona de la Guarda Civil quelques jours plus tard.

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Trois meurtres exécutés avec «une cruauté particulière » et avec « des méthodes particulièrement cruelles et inhumaines » que les juges traduisent en une peine d’emprisonnement de 8 mois pour celui qui a tué deux chiens et quatre mois pour l’autre, tous les deux pour délit de maltraitance.

La Cour Provinciale confirme de cette façon la peine prononcée par le tribunal pénal numéro 2 de Valladolid. Elle rejette le fait que, selon l’un des 2 accusés, l’une des chiennes assassinées est morte de la maladie qui avait été diagnostiquée et non par pendaison : le vétérinaire qui a examiné le cadavre dans le Centre de Récupération des animaux de Valladolid a été « clair et convaincant » en désignant la strangulation comme cause de la mort.

Les juges ont également souligné « un motif financier » dans les crimes, puisque la saison de chasse  était terminée.

La Guardia Civil a signalé la découverte d’une douzaine de chiens morts dans cette zone abandonnée de Valladolid au même moment mais sans que cela soit pris en compte dans le jugement : des sources de l’affaire affirment que ces faits ont été mis à leur charge sans qu’il existe la moindre preuve de liens avec les faits initialement reprochés.

Les galgos, des animaux de compagnie

Le jugement de la Cour Provinciale de Valladolid rejette également l’argument, utilisé par l’un des accusés, qui a fait valoir que les lévriers de chasse ne doivent pas être considérés comme des animaux de compagnie à des fins juridiques : « on parle d’un chien habitué à la coexistence et au contact avec l’homme, élevé dans la compagnie de son propriétaire, d’une race non potentiellement dangereuse, qui avait sa puce d’identification et a été inclus dans le système des animaux de compagnie de la Junta de Castilla y Leon » expliquent les magistrats pour cautionner sa protection.

Cette semaine, un tribunal pénal de Badajoz a condamné à un an et deux mois de prison et trois ans d’interdiction de travailler avec des animaux, un chasseur de Usagre (Badajoz) qui a battu à mort 5 galgos en 2014 : « à la fin de la saison de chasse, devenus inutiles pour la chasse », lui et un autre accusé ont assassiné ces 5 chiens : Cometa, Sultan, Mori, Paloma et Cachorra.

Le galgo, icône de la maltraitance animale

Silvia Barquero, présidente du parti animaliste PACMA, a déclaré à Cadena SER que les lévriers sont devenus « un symbole de la maltraitance des chasseurs envers les chiens qu’ils utilisent pour la chasse ». Elle réclame des moyens aux administrations publiques mais déclare aussi : « nous sommes très optimistes, la société a déjà fait un pas en avant » dans la défense des droits de cet animal.

  • Lien vers message audio de Sylvia Barquero sur l’article original.

Un message de protestation contre la chasse avec lévrier que revendique aussi Anna Clemens, directrice de l’organisation SOS Galgos. « Ils ne chassent pas avec un fusil de chasse, ils utilisent le galgo comme un outil, alors soit il sert soit il ne sert pas, ils n’ont aucun respect pour sa vie ».

  • Lien vers message audio de Anna Clemens sur l’article original.

Le mois de mars dernier, le PACMA a rentré au Ministère de l’Agriculture une pétition de 30000 signatures contre la chasse avec lévriers.  //

« Plaintes pour maltraitance sur 164 chiens dans 11 endroits de La Victoria » // Tenerife – Caranies // El Dia // 07/04/2016

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// La plateforme contre la Maltraitance Animale (PMA) est intervenue hier midi en annonçant un total de 11 plaintes contre les propriétaires de 164 chiens vivants apparemment dans des conditions sanitaires et d’hygiène déplorables et ce, en différents endroits de la Municipalité de La Victoria.

Ces cas ont été rapportés auprès de la Garde Civile et de la Mairie du nord de l’île.

La représentante de la Plateforme, Yahaira Thovar, était la responsable hier de l’introduction des plaintes pour maltraitance de chiens, pour la plupart des PODENCOS.

Au début du mois passé, cette association a fait connaître les faits aux autorités municipales: des cas isolés de maltraitance avérée tantôt sous un pont de l’Autoroute Nord, ainsi que dans la ville même  de La Victoria.

Selon la Plateforme, une avocate du Conseil de la Région aurait réalisé un écrit informatif ayant été transmis à la Police Locale. Celle-ci n’a donné aucune suite à cette plainte.

Dans une des plaintes, la PMA assure que 14 PODENCOS étaient sans eau, sans nourriture, attachés dehors, sans abri, souillés, malades et effrayés.

La même association a demandé aux autorités locales que des sanctions soient prises contre les propriétaires de ces chiens et que les animaux soient saisis.

Selon Yahaira Thovar, les ordonnances municipales, en théorie, sont «  valides et bonnes », mais non mises en application. Certaines lois prévoient que les chiens ne peuvent pas être attachés plus de 24 heures sans eau, sans nourriture, ou encore attachés par des liens trop courts au niveau du cou, dont la longueur est inférieure à 3 fois celle de leur corps .

L’objectif du PMA serait que l’Administration Municipale se mette à jour et reconnaisse les mauvaises conditions de vie de ces chiens, sans vaccination ni identification, sans contrôles sanitaires ou d’hygiène. Selon l’avis de Thovar Mediàn « si nous n’intervenons pas, les chiens risquent de disparaître des lieux où nous les avons localisés », nous obligeant à faire un travail de terrain afin de détecter d’autres irrégularités.

Yahaira Thovar prétend que depuis que la Plateforme contre la Maltraitance Animale (PMA) et d’autres associations de défense animale existent, des accords de collaborations existent à cette heure, afin de trouver un refuge adéquat pour ce si grand nombre d’animaux délaissés. Cette représentante de la PMA indique que eux seuls décident dans quel état sont les animaux, et où ils iront.

Dans les plaintes déposées d’abord à l’Institut Armado, les représentants du collectif inclueront la localisation exacte des chiens maltraités.

Soi-disant, les chiens sont libres dans la montagne, mais néanmoins limités dans leur périmètre par des clôtures illicites, sans arrêt condamnées par le Milieu Ambiant. En ce moment, le travail d’une activiste de la Plateforme contre la Maltraitance Animale a permis qu’un total de 10 chiens vivants dans d’épouvantables conditions soient transférés vers le refuge de TIERRAS BLANCAS, situé au sud de Fasnia.

D’après EL DIA, on attend de connaître la décision prise hier par le maire de La Victoria, Haroldo Martin, concernant l’inaction de la municipalité suite aux différentes plaintes. Nous restons à ce jour sans aucune décision, ni déclaration. //

 

« Des Pitbulls contre le harcèlement scolaire et un centre de réhabilitation canine: un (grand projet) qui nécessite notre soutien » // SrPerro // Juin 2017

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// PITBULLYING est le nom du projet que CONECTADOGS voudrait lancer, une initiative nouvelle qui pourrait être bénéfique aux chiens mais aussi aux humains.

D’une part, ils veulent sensibiliser le public sur l’idée négative que l’on se fait à propos de ces chiens, en commençant dans les écoles et les collèges, d’autre part ils veulent créer un centre de réadaptation canine pour aider ces chiens vivants en fourrière depuis parfois longtemps et qui ont souvent de grosses difficultés à trouver la maison qu’ils méritent. Dans ce centre, une prise en charge pourrait être faite sur leur anxiété et leur peur, au point qu’ils refusent souvent agressivement la main amicale qui essaie de les toucher. Cette attitude décourage souvent les adoptants obligés de rediriger ces chiens vers leur centre d’accueil.

Grâce à CONECTADOGS, plus d’informations utiles et réplicables ont été données sur PITBULLYING, afin de créer un centre unique en Espagne de sauvetage et de réadaptation pour les animaux de compagnie à la recherche d’un foyer d’adoption.

EN QUOI CONSISTE LE PROJET PITBULLYING ?

Le projet PITBULLYING est un programme d’intervention avec un Pitbull (et autres chiens de combat) ayant participé à des combats illégaux, avec des traces de violences extrêmes. Le programme est réalisé dans les écoles et vise à sensibiliser les enfants, victimes ou auteurs de cruauté, mais aussi les témoins de tels actes. Le plus important est de développer des stratégies de prévention, d’amélioration des comportements et de responsabilisation sociale, afin d’analyser les conséquences psychologiques que celà entraîne, ainsi que sensibiliser la population contre la violence, non seulement aux autres enfants, mais aussi aux animaux.

Pourquoi et comment une telle initiative ?

« Il y a longtemps que nous voulions traiter du problème de l’intimidation avec les Pitbulls et chiens dangereux, de plus en plus présents dans notre société.

Etant une association liée au monde du chien de thérapie,il était clair que nous avions besoin d’introduire l’animal dans le programme,mais ne voulant pas nous concentrer sur le modèle de chien de thérapie assistée au soutien émotionnel.

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Nous avons cherché un type de chien qui pourrait raconter son histoire propre, témoin de ce qui constitue la violence.

C’est ainsi que nous avons eu l’idée de travailler avec des Pibulls et autres chiens dits « dangereux » qui, par disgrâce, ont une réputation non méritée en raison de l’éducation reçue par leurs maîtres.

Ainsi est née l’idée d’appeler le programme « PITBULLYING » afin de combattre « l’intimidation » avec Pitbulls et autres chiens dits « dangereux ».

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Quelle expérience ont les personnes ayant lancé ce projet ?

Conectadogs est formé d’une équipe très diverse, mais tous ont une formation en comportement positif du chien (plus particulièrement avec clicker) et ayant participé à des activités assistées par le chien, par exemple en centre de détention ou encore en gériatrie. En outre, les psychologues participants ont une expérience professionnelle au niveau social et clinique, basée sur une vaste formation universitaire. De plus, le projet CRAE fait partie d’une thèse de Doctorat en cours d’élaboration en collaboration avec l’Université du Pays Basque.

Quels sont les objectifs du Financement Participatif ?

Grâce au Financement Participatif, nous pourrions obtenir les fonds necéssaires afin de construire notre propre refuge et abri, où seront accueillis des chiens de refuges ayant des troubles du comportement comme l’agressivité, la peur extrême, etc…

Nous souhaiterions être un soutien aux associations de protections animales classiques parce que nous savons que malheureusement elles n’ont pas toujours les moyens de corriger les problèmes de ces chiens, les rendant si difficile à adopter.

Nous souhaiterions travailler chaque jour avec ces chiens afin de solutionner leurs problèmes, et ainsi leur trouver une famille d’adoption. De plus, comme partie intégrante de leur thérapie, ces animaux participeraient au projet CRAE :il devient le propre thérapeute de ses traumatismes, tout en étant le thérapeute d’enfants et d’adolescents en Centre d’Accueil (CRAE). Les mineurs sont responsabilisés par le sort du chien qui leur est confié. Cette rééducation agit comme un miroir dans lequel l’enfant voit le reflet de ses propres problèmes, traumatismes et expériences.

Ces mineurs, passés par des situations très dures et dramatiques, qui vivent internés dans ces centres parce que leurs parents n’ont pas pu les prendre en charge pour différentes raisons : addictions, maltraîitances, etc….

Il est primordial de leur offrir tout l’appui psychologique possible pour qu’ils puissent surmonter tout ce qu’ils ont vécu. Avec notre propre centre nous pourrions offrir des soins psychothérapeutiques plus aisés et efficaces.

En plus du Financement Participatif, comment les gens peuvent-ils nous aider ?

D’abord et avant tout, vous pouvez nous aider en diffusant cet article. Nous devons obtenir une somme considérable( environ 35.000 Eur) en 40 jours pour que se réalise notre projet. Au plus de gens nous connaissent, au plus facile sera la réunion de cette somme.

Il est évident que les donations sont importantes, mais le bouche-à-oreilles est tout aussi important afin d’atteindre notre objectif.

Ce qui nous motive entre tout est d’obtenir que ce magnifique projet devienne réalité. //

Action Invisible soutient le projet Conectadogs, centre de rééducation pour chiens et enfants

Vidéo de présentation du projet:

// Avec Conectadogs, nous développons la première Psychothérapie Assistée avec des animaux pour des mineurs placés dans des centres d’accueil, dans laquelle des chiens et des enfants avec des vies parallèles marquées par des traumatismes émotionnels s’aident mutuellement. Le processus de réhabilitation du chien devient un miroir dans lequel se reflètent les expériences, les traumatismes et les forces de l’enfant. Ensemble, ils guérissent leurs blessures.

Nos co-thérapeutes à quatre pattes vivent dans des refuges et , à cause de leurs propres traumatismes, il est très difficile pour eux de trouver un foyer. Pour leur permettre de trouver ce foyer, nous souhaitons créer un centre de réhabilitation canine.

Aidez-nous à rendre ce projet possible !

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// Description du projet //

Caractéristiques, forces et différences.
Ce projet est bidirectionnel : d’une part, il vise à être un modèle réplicable qui fournit une solution à tous les chiens des refuges qui, au jour d’aujourd’hui, n’ont aucune chance d’être adoptés d’être adoptés à cause de leurs problèmes de comportement, car beaucoup de refuges n’ont ni le temps ni les moyens de travailler avec eux. Nous voulons créer un projet qui vient en support aux refuges traditionnels, les aidant à trouver un foyer à ces chiens et évitant à ces animaux de rester des années en refuge sans espoir d’adoption.

Nous allons également réaliser des psychothérapies pour enfants en situation de détresse qui vivent dans des centres d’accueil. Ce projet fait partie du travail d’une thèse de doctorat et se réalise avec la collaboration de l’Université du Pays Basque, sous la direction des médecins et chercheurs Alexander Muela et Nekane Balluerka.

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Motivation et à qui s’adresse le projet.

D’une part, ce projet s’adresse aux refuges de chiens qui ont des cas désespérés, des chiens avec beaucoup de traumatismes (peur, agressivité, etc …) qui font qu’ils ne peuvent être adoptés. Ces chiens peuvent passer toute leur vie au refuge et, en plus de ce triste destin, ils représentent un coût pour les refuges qui, souvent, n’ont pas le temps ni les moyens pour les réhabiliter.

De plus, nous venons aussi en aide aux enfants et adolescents : ceux qui vivent dans des centres d’accueil à travers ce projet que nous développons avec l’Université du Pays Basque, mais aussi nous réalisons une psychothérapie dans les collèges et instituts contre le harcèlement avec des chiens qui ont été maltraités.

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Les objectifs de la campagne et le financement participatif.

Notre objectif est d’obtenir les moyens de pouvoir payer le terrain qui accueillera les installations (ou, dans le meilleur des cas, le coût total du terrain), ainsi que le coût des installations où vivront les chiens et des espaces où ils pourront jouer.

Nous voulons aussi obtenir de l’argent pour garder ouvert le centre au cours de 6 premiers mois, avec lequel payer les frais (eau, électricité, …) , la nourriture, le matériel avec un espace de formation qui nous permettra de dispenser des cours et des séminaires avec lesquels nous continuerons à financer le projet, en plus de la contribution de partenaires, teamers ,etc …//

Pour faire un don:

  • Directement sur le site de participation: https://www.goteo.org/project/centro-de-recuperacion-canina
  • Via Action Invisible, en adressant votre don accompagné de la mention ‘Conectadogs’:- par chèque libellé à l’ordre d’Action Invisible, à envoyer à Perrine Mallet, Pech d’Agudes, 46600 Floirac- par virement: FR7610278365740001082270118 BIC: CMCIFR2A