- Article original, traduit de l’espagnol: http://horajaen.com/encuentran-en-torreperogil-un-podenco-ahorcado-y-quemado-en-una-barbacoa-campestre/
// JAÉN.- C’est un nouveau cas d’horreur envers les animaux. De bassesse humaine qui s’impose au jour le jour. D’insensibilité envers les animaux qui ne peuvent pas se défendre. Hier, une Clinique Vétérinaire de Séville à Torreperogil publiait sur les réseaux sociaux la folie du mauvais traitement animal. Le message était concis mais dévastateur : « Un podenco avec la corde au cou et jeté dans les barbecues de El Paso entre Úbeda et Torreperogil. Le barbare ou les barbares ne peuvent pas s’en sortir comme ça. Vous nous aurez en face, sachez-le« .
Un chien qui, de plus, ne portait pas de puce d’identification; découvrir qui était son maître sera donc difficile. C’est un voisin qui a trouvé les restes de l’animal et qui l’a communiqué à la clinique vétérinaire, qui ont cherché sur les lieux afin de vérifier si l’animal était recensé, ce qui a été inutile ne possédant pas de micropuce. Ils pensent que l’animal est décédé il y a une semaine et qu’il a d’abord été pendu avant d’être brûlé, puisqu’il avait encore une corde autour du cou.
« La saison de la chasse se termine. Des abandons par milliers, des chiens plombés, pendus et étripés sur les routes. Et personne ne fait rien », remarque David Lorente, dresseur et un éducateur canin à Torreperogil et manager de cette Clinique Vétérinaire. Maintenant c’est à la Guardia Civil de s’en charger, comme dans des cas similaires afin de découvrir qui les responsables de cette barbarie. La clinique s’est mis en contact avec le Seprona de Cazorla pour dénoncer cette situation. //